Le jour n'a rien à dire du vent, de la plage et du bonheur.

C'est comme cela que je t'ai perdue.

Nous étions l'ombre des présences, unies sur une même terre. 

Puis par la vague des plaisirs, je suis restée et tu es partie avec les orteils.

Ma belle.

Ma splendide eternelle.

Une taille qui se partageait de gauche à droite, pour tenir la conversation.

Sur les marais, c'est la déchirure, tu ne reviendras pas.

Grandir sans ta semelle, c'est se couper aux roseaux, manger la vase, porter mon corps évanouie, 

et claquer au naturel.

Usée sur le même coté, tu conservais l'équilibre de la symétrie.

De la belle histoire commençe le roman.

Tu m'imposes l'aventure de la demie-paire, de l'unique. 

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