Ce matin, 

les pierres ont traversé la toile,  le fond,

c'est toujours comme cela, 

je veux que tout finisse  et tout recommence.

La couleur.

Tu es belle.

Je ne faiblis pas à la patience.

Ces pierres, ne proviennent-elles pas de la lune ?

Je nous habille de textes et de factures, comme des cicatrices. 

Tu regardes ton thé, 

en actualité, il ne se passe grand chose.

Soleil, chaleur, le rythme des coeurs qui frappe aux pupilles.

Tenir des pierres au-dessus de sa tête, c'est presque comique, c'est du romantisme rudimentaire, un travail, mon métier, d'aimer le temps qui tourne au bout d'une petite cuillère.

Ta main ne dit rien, mais elle

boit tout.

 

 

 

 

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