Dans l'histoire, je me colle à toi, retourner l'espace, en pulsations, en corps, partout.
Au pourpre, je te promène, dans la forêt, tu dois m'entendre, je t'écoute, on se promène.
Absolu basique sur des soubresauts ridicules, mon coeur, je t'ai reconnu, maintenant il faut t'aimer.
Elle l'a dit en partant, c'est un coeur , qui ne dépasse pas ton crayon, pour le perdre, il fallait qu'il soit petit, invisible et en sucre. Elle en a tellement dans son armoire, qu'elle est partie m'en chercher un, rouge, bien vivant.J'ai froid et je...
Aujourd'hui nous engage sur une nouvelle piste, nous nous suivons dans les profondeurs invisibles d'un puits, pendant un long moment.... Rien ne s'échappe du tunnel, ni paroles, ni promesses, c'est le silence qui avance.
(Exporter la nuit, le journal)
Le premier indice: Mon cœur n'est pas sur les motifs roses des soupières qui frisent. Exporter la nuit, le journal.
Exporter la nuit, le journal
( Exporter la nuit, le journal )
"Au simple échange, elle venait me transpercer le corps, l'esprit jusqu'au minuscule" ( Exporter la nuit, le journal )
Jeudi : Je t'adresse le carton des départs, je déménage. Tendre baiser.
Mercredi plus tard: Dans ton épaisseur on circule, on se promène, un coeur entre les bras, chacun le sien. Je frotte avec une éponge les révélations (et le carrelage ne se plaint pas.)
Mercredi: J'ai frotté la surface jusqu'à la voir, c'est un jour qui sent bon. La faïence a ses mystères qu'aucune éponge ne peut résoudre.
Vendredi: Entre les poissons et les vagues, les bêtes se taisent, ne mordent plus, ne se lèchent plus, la nuit attire les chemins vers le haut, l'été s'empreinte à la mer, les étoiles s'égouttent à la sirène, sur un carrelage timide.
Mercredi: Mon cher carrelage, Dans ce papier peint, je traverse le mouvement de la mer, je retrouve le bleu du vivant, je reconnais le parfum des images perdues, je colle les éclaboussures, et j'imprime en exemplaires, une respiration turquoise .
Mardi : À l'heure des tasses endormies, sur des couleurs de placard, nous mettons les pieds sur des bords différents, sans renverser les motifs, sans faire entrer la lumière.
Vendredi: Je reliais les grandes capitales sur le murmure des refrains, Paris-New-York se collait en bulles sur ma surface, en amour lavande très propre, je répétais...Je les aime avant que tout explose.
Lundi : sur la surface et sur la chaleur des retrouvailles, j'étais nettoyé d'une cuillère rouge poisseuse.
Samedi ( Très tard ): Sa joue s'est écrasée sur moi, elle s'est effondrée dans mon motif, sa peau éclairait son corps dans une chute invisible. Je me lissais à l'entendre, elle riait de son coeur qui battait la campagne, des bulles qui enivraient son...
" Confidences confidentielles en secret avec un lilas. J'étais à l'écoute, à l'heure, brillant sous ses pieds."
Elle écoute les pieds froids revenir sur le café, sur le quadrillage coller sur les traces, sa paume rejouer le matin, l' évidence des sols bien rangés.
Arlette et les femmes font et re-font des roues tous les jours... Elles souhaitent de tout coeur Re-lancer ce qui s'est éteint par une nature fatiguée.
Après une multitude de propositions, elles décidèrent de faire repartir la planète en faisant la ROUE car....Tout corps plongé dans un mouvement anime quelque chose....
Durant des nuits; Arlette et toutes les femmes cherchèrent une solution pour relancer la planète .... ( Elle regarde le ciel et se pose des questions essentielles sur sa vie, la terre ne tourne pas et les petits arbres non plus.)
Arlette s'est associée avec les autres femmes, ensemble elles mettent en place un observatoire de l'instant, de là, elles peuvent tout saisir surtout les questions essentielles. Elles comprennent vite que la lune est figée par une terre qui ne tourne...